Saitô venait à peine d'arriver en ville, il avait vraiment eu de la chance car il trouva très rapidement un logement. Avec une colocataire, cette idée de l'enchanta pas vraiment au début. Il aimait mener sa vie comme un vieux lion solitaire. Cependant, la vie était chère comparait dans son pays natal. Il ne voyait pas passer sa vie dans une chambre d'hôtel. Et comme il avait entendu parler qu'une certaine Irina Yasna Wishensky chercher un colocataire. Il avait sauté sur l'occasion, il était dit il pouvait venir à partir de samedi. Ce qui allait très bien car il ne travaillait pas ce jour-là, il se leva à 5 h 45 du matin. Pour commençais sa petite heure de sport. Une fois terminé, il pris sa douche pour s'habiller d'une chemise blanche. Et d'un pantalon noir, il mit son collier ra de cou et ces bagues. Il pris son petit déjeuner, puis se rassura qu'il n'avait rien n'oublier. Il porta sa petite chienne une petite teckel à poil long marron sous son bras. Il pris ses valises il en avait quatre, puis sortie du bâtiment de l'hôtel. Il se dirigea vers sa voiture de sport blanche. Elle était ainsi:

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Il monta dans sa voiture après avoir mis ses valises dans le coffre. Il démarra sa voiture, pour se rendre à l'adresse qu'on lui avait donné. À 8 h 35 il était devant une maison, ça devait être celle-ci. Saitô observa la maison pendant quelques secondes depuis sa voiture. Puis fini par sortir de la voiture, pour s'approcher de la porte. Il approcha sa main vers la porte d'entrée pour frapper, il attendit quelques secondes puis vit Irina lui ouvrir. Il la regarda dans les yeux, il n'avait aucune expression sur le visage.

"Bonjour Saitô et bienvenue chez toi. Si tu as beaucoup de bagages je peux peut être t'aider à les rentrer."

Saitô attendit quelques secondes, le temps qu'elle finit de parler. Puis il ouvrir la bouche pour prononçais laissant ses pupilles bleus sur le visage de la demoiselle:

« C'est très gentil. Mais je vais me débrouiller tout seul pour mes bagages. Dans mon pays c'est mal vu qu'un homme laisse porter ses bagages par une femme. Loin idée que je pense que vous êtes pas capable ou que vous êtes inférieur aux masculins. »

Dit-il en se tournant donnant dos à la demoiselle, il s'éloigna d'elle pour s'approcher de sa voiture. Il appuya sur le bouton, pour déverrouiller les portes et le coffre. Il ouvrir le coffre pour tout à bord sortir les valises. Il pris d'abord deux valises pour les amener à l'intérieur de la maison. Les posant à l'entrée, il répéta ce geste pour les deux dernières valises. Quand cela fut fait, il repartie vers sa voiture pour aller chercher sa chienne qui était restée au siège à côté du conducteur. Il verrouilla sa voiture, puis repartie à l'intérieur de la maison. Il posa doucement la chienne au sol, fermant la porte derrière lui:

« J'espère que cela ne vous ennuie pas trop, que j'ai une petite chienne. Je vous rassure elle est très sage elle ne fera pas de bêtise. »

Saitô avait enfin ramené toutes ses valises, et avait la petite chienne avec lui. Après l'avoir posé par terre, il entendit la demoiselle lui dire. Que cela ne lui faisait rien qu'il avait une petite chienne. Lui demandant ensuite quel nom avait sa chienne, Saitô regarda sa chienne en train d'aboyer à son maître. Saitô fit des gros yeux, faisant « Chuuuute » en mettant son index sur ses lèvres. Sous ce geste sa chienne se calma immédiatement. Il leva sa tête pour poser son regard bleu sur la demoiselle enfin de lui répondre:

« Belle. »

Lui dit-il simplement, il vit ensuite la jeune femme se pousser pour le laisser mieux entrée. Doucement il fit quelques pas pour sortir du pas de la porte, laissant ses yeux sur le visage de la jeune femme. Qui lui dit:

"Pour ce qui est de la maison le mieux c'est de faire tes marques tout seuls sans quelqu'un sur ton dos. Il y a plusieurs pièces vide si tu souhaites en prendre une pour faire un petit nid tu le peux je n'y vois pas d'inconvénient."

Saitô écouta les paroles d'Irina sans l'interrompre, intérieurement il eu un sourire en entendant le thermes qu'elle avait employé. 'Faire son petit nid' mais, bien évidemment Saitô ne montra rien extérieurement. Gardant un visage neutre, hochant simplement un peu la tête puis ajouta:

« D'accord merci, si cela t'ennuie pas je prendrais deux pièces. Une pour ma chambre et une autre pour mettre mes affaires de sport. Qui devrais arriver du Japon dans quelques jours. »

Saitô savait permis de la tutoyer puisqu'elle avait fait de même pour lui. Il alla prendre deux valises, il s'apprêtait à chercher sa chambre. Mais il entendit la demoiselle lui dire:

"Par contre, dans la cuisine les deux premiers tiroirs sont remplit de médicaments ils sont rangés d'une certaine manière pour que je m'y retrouve donc ça serait gentil de ne pas trop les déplacer. Je faisais du café si toute fois tu en veux il en reste dans la cafetière."

Saitô sous ces paroles leva un sourcils, il se demandait pourquoi cette jeune femme avait autant de médicament. Était-elle malade? Sa tomber bien, il était médecin il pourra l'aider si elle avait besoin. Était-elle au contraire une drogué de médicament? Non, nous n'allons pas penser au pire tout de même. Saitô était d'une nature curieuse, mais ce qu'il l'empêcha de lui poser toutes ces questions. Était qu'il se rencontrait à peine, il préférait attendre un moment. Le temps qu'il se connaisse mieux avant de poser ces questions. Il ne voulait pas se montrer indiscret, il hocha doucement la tête puis dit:

« Je ne comptais pas y toucher. Oui, je veux bien merci. Je me permets d'aller poser mes affaires dans une chambre vide qui sera la mienne. »

Dit-il d'un regard neutre mais, assez froid il baissa la tête pour regarder sa chienne.

« Viens avec moi Belle. » Dit-il, avant de se mettre à la recherche de sa chambre, il fini par en trouver une assez grande. Comme il aime, avec un papier peint blanc, très classique. Il posa ses valises dans un coin, puis alla chercher les deux autres qui manqué. Une fois ces affaires dans sa chambre, il regarda autour de lui. Déjà il avait pleins d'idées pour changer cette chambre à son gout. Mettre le papier peint rouge, avec des signes japonais à l'encre de Chine. Il voulait que son environnement le rappel un peu plus de quel pays il était. Il entendit sa chienne couiner doucement, il baissa la tête. Il lui fit un petit sourire tendre lui caressant doucement la tête. Avant de sortir de la chambre pour aller dans la cuisine, il s'approcha en disant:

« Puis-je faire quelques modifications dans ma chambre? Comme changer le papier peint de ma chambre? Je payerai tous les frais qu'il faudra. »

Saitô avait rejoint la demoiselle, en lui demandant si il pourra refaire la décoration. La propriétaire des lieux, lui répondit positivement. Lui disant que si il utilise du solvant, car elle ne pouvait pas respirer ce produit. Pour le jeune Japonais, il était hors de question de la mettre à la porte pour ces travaux. « Je n'utiliserais pas du solvant dans ce cas. Je ne vais pas te mettre à la porte de chez toi pour ça, je me débrouillerais autrement. » Saitô avait largement les moyens de payer des travaux, il aurait pu se payer une maison. Mais il se connaissait, il savait que si il aurait payé une maison. Il se serait lui-même mis à l'écart de la sociabilité, et il savait que c'était un de ces plus grands défaut. Il essayait de se forçait à être avec du monde, avec le métier qu'il faisait il était bien obligé.

Saitô fini par s'asseoir en face de la demoiselle, il pris sa tasse pour la mettre en face de lui. Il leva son regard, pour observait la demoiselle prendre des médicaments et les faire descendre avec de l'eau. Cela titilla une fois de plus la curiosité de Saitô, ses lèvres lui brûler à ne pas lui poser les questions. Pour apaisait sa curiosité, mais il était un homme respectueux. Pour lui le respect était quelques choses de sacré, comme beaucoup de japonais. Cependant, Saitô était aussi quelqu'un de malin, il pourrait très bien essayer de tiré des informations sans lui poser de question. Elle pourrait très bien lui dire ce qu'il veut savoir d'elle-même. Il fallait simplement qu'il trouve un bon sujet pour qu'elle en parle. La jeune femme finie par lui dire:

"Pour ce qui est de la nourriture je ne sais pas trop ce que tu manges dans le frigo il y a beaucoup d'aliments hyper-protéiniques mais en tassant on peut te libérer un rayon pour toi si toute fois tu veux être indépendant dans tes repas."

Est-ce-que le fait qu'il y as de la nourriture hyper-protéinique avaient un rapport avec le fait qu'elle prenait des caché? Saitô se demander si la jeune femme n'avait pas des soucis de santé? Peut-être qu'elle perdait du poids, ou qu'elle avait du mal à en prendre et donc elle devait manger ce genre de nourriture. La curiosité de Saitô s'apaisa car, Irina lui avait peut-être donné un indice sur son sujet. Mais il en était pas sûr est-il voulait savoir un peu plus.

« Je mange beaucoup de repas japonais. Mais je sais aussi cuisiner autre chose que des repas de mon Pays. D'accord, je te remercie, mais pour la cuisine j'aime partager les plats. J'ai tendance à en faire beaucoup, pour en laisser dans le frigo. Comme ça quand je rentre vite fait, j'ai n'est pas à faire la cuisine. Donc c'est dans le frigo si tu veux te servir pour goûter à mes plats tu peux. À moins que... Tu ne peux manger que de la nourriture hyper-protéiniques? »

Demanda-t-il en levant un sourcils. Saitô ne savait pas trop montré indiscret à son goût. La demoiselle parler de nourriture, Saitô avait simplement répondu en lui disant qu'elle pourra manger ces plats. Si elle peut bien évidemment en manger, peut-être qu'avec ceci Irina lui en dira plus à son sujet. Le jeune Japonais, vit la jeune femme sortir de sa poche une clé. Lui disant que c'était le double de la porte de la maison que sera plus simple pour lui. Car, il aurait des moments où elle ne sera pas, Saitô hocha la tête prenant la clé pour la mettre dans sa poche.

« Je ne serais pas souvent à la maison. Je viendrai surtout pour m'occuper de Belle, mangé me doucher. Et peut-être dormi un peu, je serais plus à mon travail qu'ici. »

Quand il termina sa phrase, il pris enfin sa tasse de café. Pour l'approcher doucement de ses lèvres. Doucement il mis ses lèvres en cœur pour souffler légèrement enfin de ne pas se brûler. Puis but une ou deux gorgées de son café.