Bonjour tout le monde! Je me présente. Je m'appelle Reagan McLANE. Je suis né(e) le 20/11/1980 à LOS ANGELES. J'ai donc 29 ans, et je suis évidemment américaine. Je travaille à l'hôpital depuis 8 ans et j'ai le poste de résident dans le service de pédiatrie.

De nature,je suis souriante, espiègle, passionée, curieuse, particulièrement sociable, butée, déterminée, ambitieuse...

Avec les patients, je suis empathique, parfois trop impliquée, compréhensive, parfois dure, soignée, conciliante, ...

« Il y en a qui ont de la chance… ». C’est une phrase que Reagan a entendu de façon très régulière depuis sa plus tendre enfance, tel un leitmotiv, et ce comme si le monde entier s’était ligué contre elle afin d’être sûr qu’elle n’oublierait pas. Ah ça, pour ne pas oublier, elle n’a pas oublié. On ne peut pas chasser de son esprit qu’on vient d’une famille plus qu’aisée où la question de l’argent ne s’est jamais posée. Pas plus qu’on ne peut nier une enfance heureuse remplie d’insouciance. On pourrait presque croire à l’image de la petite fille riche qui, capricieuse au possible, se plaint d’avoir eu une petite cuillère en argent dans la bouche dès sa naissance. Et bien non, ce n’est pas le cas de Reagan. La jeune femme, choyée par des parents soucieux de lui apprendre la droiture, a toujours chéri avec reconnaissance la vie qu’elle menait. Son éducation y fut pour beaucoup, ainsi que l’environnement sain dans lequel elle évolua, entourée de sa famille, pour le meilleur et pour le pire.

Reagan est donc née à Los Angeles, cité des anges et du rêve pour tous les américains en mal de célébrité. Un rêve qui devint réalité à la fois pour sa mère et pour son père. Thomas McLane, ça ne vous dit rien ? Et Erin Collins non plus ? Vous faites pourtant face à deux protagonistes influents de la ville ou plutôt de la ville dans la ville, à savoir Hollywood. Un père initialement compositeur de génériques de séries devenu producteur et une mère chasseuse de têtes, capable de dénicher la nouvelle Jennifer Anniston, pas franchement le terreau idéal pour un futur médecin ! Or, c’est justement cet univers de paillettes que le couple McLane voulut écarter de leur vie lorsqu’ils fondèrent leur famille, soucieux de ne pas faire de leur progéniture un simulacre de Paris Hilton en puissance. Thomas et Erin avaient d’ailleurs eu le temps de faire leurs preuves avec Sam et Matthew avant que ne paraisse leur petite Reagan. Le cocon familial était solide mais tendre et avait pour cadre une magnifique maison au bord de l’Océan Pacifique. En tant que seule fille des McLane, Reagan attira particulièrement l’attention de ses parents et en tant que benjamine, elle fut à la fois tourmentée, adorée et protégée par ses aînés. Il n’y a pas grand-chose à dire sur les premières années de sa vie sinon qu’elles furent merveilleusement heureuses. Banalité quand tu nous tiens ! Mais Reagan ne trouva jamais rien de normal à ce bonheur qui était le sien, consciente que ce n’était pas le quotidien de tout le monde.

Gentille, intelligente et douce, on pourrait croire que la jeune fille avait tout de la petite poupée bien lisse. Au contraire, chapeautée par ses grands frères, Reagan fut tout d’abord un véritable garçon manqué, persuadée d’être obligée de faire ses preuves auprès de Sam et Matthew pour mériter sa place dans leur trio. Turbulente sans être insolente, la petite fille en fit voir de toutes les couleurs à ses parents, dont quelques peurs bleues pour certaines de ses imprudences. Néanmoins, comme elle n’était pas d’une nature malveillante, on passa l’éponge sur ses sottises tout en lui faisant régulièrement la morale. Aujourd’hui encore Reagan en retient qu’il faut savoir apprendre de ses erreurs et que, tout comme le laxisme, la sévérité extrême ne porte pas ses fruits. Elle put ainsi se forger sa propre expérience dès son plus jeune âge, forte de ses convictions et certaine qu’avec de la volonté, on peut atteindre n’importe quel but.

Alors que le cadre idyllique de la Californie aurait pu la pousser à franchir les portes des studios ou autres sociétés de production, Reagan, à sa sortie du lycée, avait déjà une idée bien précise en tête. Devenir médecin. Qui avait bien pu lui mettre cette idée en tête ? Sans bien comprendre les raisons de ce désir, ses parents choisirent de lui ouvrir la voie et de tout faire pour que leur fille puisse réaliser son projet professionnel. Reagan, elle, ne le voyait pas de la même façon. Dès les premiers instants, elle sut qu’il s’agissait plus que d’un métier ; c’était chez elle une vocation. Elle ne sut pas bien expliquer les raisons de son choix, c’était à peine si elle pouvait mettre des mots sur ce besoin irrépressible. Sa décision de poursuivre ses études à Stanford n’eut néanmoins pas l’effet escompté chez ses amis. Oh, bien sûr, ils étaient tous très contents pour elle et lui souhaitèrent de réussir, cependant ce fut à partir de ce moment qu’ils s’éloignèrent d’elle. Reagan, qui avait été si entourée, si appréciée par ses camarades, en prit un coup. Complètement isolée à Stanford, la jeune femme perdit peu à peu son enthousiasme et son espièglerie. D’aucun diraient qu’elle n’avait guère le temps de s’apitoyer sur son sort en faisant des études de médecine et, en un sens, ils auraient eu raison. Car bien qu’étant particulièrement à l’aise au niveau de sa scolarité, il n’en demeurait pas moins que Reagan devait mettre les bouchées doubles : elle ne voulait pas être une étudiante en médecine, elle voulait être la meilleure.

Rapidement, ses parents s’inquiétèrent de l’entendre parler que des cours, tout comme ils s’interrogèrent sur le calme qu’elle affichait désormais. Reagan ne dépérissait pas, contrairement à ce qu’ils se mirent à penser, mais elle s’assagissait. Or, ils ne parvenaient pas à comprendre comment leur si pétillante benjamine pouvait se passer des fêtes californiennes qui étaient son quotidien quand elle vivait encore chez eux. La jeune étudiante, elle, considérait sa solitude avec fatalisme, persuadée que tout irait mieux lorsqu’elle aurait son diplôme, surtout que, malgré tout, elle était particulièrement passionnée par ce qu’elle faisait. Passant ses journées et ses nuits à la bibliothèque, elle finit par attirer l’attention d’un de ses professeurs. William Watherford, la quarantaine, fut progressivement charmé par la finesse de la jeune femme et se proposa de l’aider dans ses études. Touchée de voir que son mentor croyait en elle, Reagan dévora les volumes qu’il lui conseillait de lire, passa des heures dans des cafés à commenter les derniers articles avec lui, discuta de ce qu’elle souhaitait choisir comme spécialisation. Leur complicité se fit grandissante et ce qui devait arriver arriva. Après un simple baiser échangé dans sa salle de classe en plein milieu de la nuit, Reagan se mit à passer tout son temps avec Will, comme elle aimait l’appeler, même les weekends et les congés. Leur liaison fut une conjugaison de passion, d’amitié et de fusion sans pour autant avoir les traits d’une relation destructrice. Au contraire, Re agan s’épanouissait, apprenait, et William rajeunissait. Ils firent des projets complètement fous et réalistes à la fois, tablant sur un avenir comprenant maison, chien, enfants et vacances à la mer. On dit que l’âge ne compte pas quand l’amour est fort. Néanmoins, c’est sans tenir compte des rumeurs. Bien que particulièrement discret, le couple ne put empêcher certains d’avoir des soupçons. William, qui était conscient que sa jeune amante ferait un incroyable médecin, refusa que l’on puisse prendre son excellence pour du favoritisme et choisit de rompre. Profondément blessée, ne comprenant pas ce revirement, Reagan termina sa dernière année à Stanford sans lui adresser la parole autrement que par politesse.

Reagan décrocha donc son diplôme avec mention, rendant particulièrement fiers ses parents, qui eux n’en demeuraient pas moins soucieux, surtout après cette dernière année d’études où leur fille leur avait paru particulièrement éreintée, éteinte. S’ils avaient su ! Et encore, ils n’étaient pas au bout de leurs surprises. Reagan, lasse de les voir tout le temps la chouchouter et désireuse de faire ses preuves, choisit de partir faire son internat à Seattle. Là encore, Erin et Thomas la laissèrent choisir mais lui exprimèrent à quel point ils désapprouvaient. Déjà que leur fille se destinait à une profession prenante, la voir partir à plus de 19h de route leur assenait le coup final : ils n’allaient guère plus la voir qu’une à deux fois par an. Les adieux furent déchirants, particulièrement pour Reagan qui savait qu’elle faisait le bon choix, mais qui avait besoin de tourner la page avec la Californie… et avec William.

Heureusement pour elle, le Seattle Grace fut réellement un nouveau départ. La pression, toujours présente mais bien différente que celle qu’elle subissait à Standford la boosta au lieu de la crisper. Le naturel sociable et enjoué qui était le sien redevint son trait de caractère premier et elle put ainsi se faire de nombreux amis. Elle acquit même une solide réputation, celle d’être toujours la première à vouloir faire la fête ! Une manière peut-être d’oublier ses expériences malheureuses avec la gente masculine qui, depuis son aventure avec William, semble désespérément destinée à la faire souffrir ou bien à la désoler par sa banalité.

Parfois un peu enviée des autres internes ou résidents à cause de ses facilités, Reagan sut les faire oublier grâce à son humour simple et à sa gentillesse. Ainsi, appréciée de ses collègues et supérieurs, elle sait qu’elle trouvé sa place au sein de l’hôpital. Reste encore pour elle le choix de sa spécialité. Depuis toujours, la jeune femme est particulièrement attachée au sort des jeunes patients, les enfants. Néanmoins, son cœur balance, car elle garde toujours dans un coin de sa tête cette petite phrase : « il y en a qui ont de la chance ». Or, Reagan refuse de ne tabler que sur cette chance, et ne peut s’empêcher de croire choisir la facilité avec la pédiatrie.

Pauvre petite fille riche… Voilà quelque chose que Reagan a tout fait pour ne jamais entendre. De nature simple et dévouée, elle a la chance d’avoir appris les valeurs importantes de la vie dès son plus jeune âge. Ses parents ont fait d’elle quelqu’un de droit et de généreux, à qui la justice tient particulièrement à cœur. Mais Reagan n’est pas aussi douce qu’on pourrait le penser.

Avoir vécu avec deux frères bien plus grands qu’elle lui a inculqué une certaine espièglerie ainsi qu’un gout prononcé pour les sensations fortes mais aussi un caractère bien trempé et une capacité sans pareille à soutenir ses idées, parfois jusqu’à ne pas se rendre compte de ses erreurs. Cela lui joue parfois des tours en ce qui concerne ses patients, car à trop vouloir bien faire, elle s’entête parfois dans ses errements. Dans ce genre de cas, elle accepte généralement bien les remontrances, du moment qu’on arrive à lui faire comprendre en quoi elle a commis une faute. Gare à celui qui cependant n’aurait pas des convictions aussi ancrées que les siennes, elle risquerait de prendre cela pour de la faiblesse…

Drôle et tendre, voilà le profil qui fait d’elle une excellente candidate à la pédiatrie. Jamais condescendante envers les enfants, Reagan fait de son mieux pour comprendre leurs attentes et adapter leurs soins, tout en tachant de leur faire comprendre l’importance de ses gestes. Reagan est d’ailleurs en ce sens particulièrement admirative du Docteur Robbins, dont elle loue le professionnalisme et l’adaptabilité. Ce que Reagan préfère ? Voir la titulaire franchir la ligne jaune pour sauver son patient. Cela prouve selon elle à quel point Arizona est déterminée et passionnée.

Terriblement curieuse, Reagan a su se faire des amis auprès de tout le personnel de l’hôpital, afin d’être toujours au courant de tout ! Mais chut ! C’est un secret qu’elle se garde bien de confier et ses collègues sont toujours surpris de voir à quel point elle en sait sur les gens. C’est également parce qu’elle sait être une confidente parfaite, qui ne colporte pas les ragots, qu’elle a pu ainsi devenir l’oreille amicale à laquelle on aime bien dévoiler son jardin secret. Telle une journaliste, Reagan ne dévoile jamais ses sources !

Fine et plutôt jolie, la jeune femme aime prendre soin d’elle en dehors de l’hôpital. Elle s’est néanmoins ôtée d la tête toute envie de relation sérieuse depuis l’épisode à Stanford. Car bien qu’elle ait eut quelques espoirs en arrivant à Seattle, tous ses rendez-vous galants se sont soldés par des échecs. Elle est donc plutôt du genre à ne pas se prendre la tête et passe souvent pour la fille sympa, avec qui on peut s’amuser, et qui ne prend pas ombrage si vous ne rappelez pas le lendemain matin, parce c’est ce qu’elle fait aussi. Au diable les rêves de Prince Charmant ! Son amour, c’est la médecine !!

Prénom/Pseudo ☞ Lina
Age ☞ 24 ans
Comment as-tu découvert le forum? ☞ En sautant de partenaires en partanaires^^.
Mon personnage est ☞ Un prédef' =)
L'avatar que j'utilise est ☞ Natalie Portman.
Ma fiche est ☞Terminée
Quel est votre docteur préféré ? ☞ Dr Glamour bien sûr ^^

Et bien écoute, Reagan, c'est parfait du coup !!! Tu es ajoutée partout, tu es validée, tout va bien quoi :) Je te souhaite un très bon jeu, amuse toi bien parmi nous, et n'hésite pas si tu as des questions

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⒉ Crées ensuite ta fiche de lien et de RP dans le Bloc Relationnel
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