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| Sujet: DOUGLAS - Smoking kills. Litterally. Jeu 1 Mar - 0:16 | |
| Marc DOUGLAS
Bonjour tout le monde! Je me présente. Je m'appelle Marc Douglas. Je suis né(e) le 01/09/1979 à Los Angeles. J'ai donc 32 ans, et je suis évidemment américain. Je travaille à l'hôpital depuis 6 ans et j'ai le poste de pompier . | De nature,je suis courageux, dangereux, fidèle, impassible, sociable, silencieux, simple, torturé...
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The Story; 'cause We all have One... | J'accepte tout: les brodequins, les tenailles, le plomb fondu, les pincettes, le garrot, tout ce qui brûle, tout ce qui déchire, je veux souffrir pour de bon. Plutôt cent morsures, plutôt le fouet, le vitriol, que cette souffrance de tête, ce fantôme de souffrance, qui frôle, qui caresse et qui ne fais jamais assez mal" -Sartre Je suis un intriguant protagoniste. Je le dis sans prétention, car, vraiment, est-ce une qualité? Si je le sais, c'est parce qu'on me l'a dit. On me l'a répété des dizaines de fois; je ne suis pas humain. J'ai les organes qu'il faut, tous mes lobes fonctionnent, l'aire de Broca, celle de Wernicke, je suis en mesure de parler, de comprendre, d'agir, de vivre... mais cette vie, je ne la mérite pas. Je l'ai jeté aux ordures il y a vingt ans. Perdre un proche n'est jamais facile, être coupable de la mort de quelqu'un, c'est un autre genre de malaise. Il n'y a pas de mot encore inventé pour le décrire, c'est ce regard que vous jette votre père et qui se traduit ''t'aurais dû mourir à sa place''. J'aurais pu me rebeller, acclamer qu'à la vie j'y ait droit comme tous les autres, mais au fond j'étais d'accord, j'aurais dû mourir cette nuit-là. Tout c’était produit si rapidement, une connerie d’adolescent, d’enfant subissant la pression des paires, une stupidité, il n’y a pas une journée qui passe sans que je ne me demande si j’aurais pu faire quelque chose. Mes connaissances d’aujourd’hui auraient éteint ce feu en le temps de le dire, c’était tellement facile que le cœur me lève à y penser. Pour un enfant, j’avais 12 ans, un feu ça traumatise. Je peux tout revoir, tout revivre, tout ressentir; « Qu’est-ce que c’est? Qu’est-ce que tu fais? » Mon regard sondait la pièce, la porte, j’épiais tous les mouvements. Mais il n’y avait que nous dans la maison, mes parents étaient parties souper. Ma sœur, la connaissant, m’effrayait, c’était en plein son genre d’aller me rapporter aux parents. Elle ne devait pas savoir. « Fait pas semblant, Marc. » Je l’imagine très bien se clouer sa cigarette au bec, comme si c’était quotidien pour lui, je l’admirais d’être aussi… homme je suppose. C’était ce que je voulais aussi, devenir un homme. « Ma sœur… » Il avait déjà allumer, mes yeux brillaient. Au fond je le voulais. Après avoir inhaler lui-même, il me tend la cigarette d’une main, je vois la fumée lui sortir par le nez, je suis impressionné. Sans instruction, sans manuelle, sans demande, car j’étais trop fier, je porte l’objet à mes lèvres et m’étouffe comme un débutant. Mon corps se pli, ma gorge me tenaille, elle brûle. Je sens le tabac se coller aux phalanges de mes poumons, je déteste ça. Je crache tout ce que je peux, mais la brûlure ne s’arrête plus. Sans m’en rendre compte, la cigarette me glisse des doigts et tombe sur le tapis. Ça ne prend qu’une seconde, du moins ce qui me semble comme l’être, pour que tout le plancher de ma chambre s’enflamme. Je cours jusqu’à la porte, levant les genoux à mon nez tellement je crains pour mes chevilles. Je n’ai le temps que de me retourner pour voir les dégâts, mes rideaux commencent à flamber, l’orange me réchauffe le visage, le crépitement des meubles calcinant m’apaise un peu. Quand mes pieds touchent enfin le gazon de la cours avant, je m’effondre et hésite à m’enfuir. Mes parents ne me le pardonneraient jamais… il n’y a que Jenny qui me regarderai peut-être à nouveau. Jenny? Mon corps se raidit, l’eau me monte aux yeux, mon cœur cesse de battre. Mon dieu, Jenny. Mon corps flasque a peine à se redresser, quand ma main empoigne la poignée il ne me faut qu’une seconde pour que la réalité me rattrape. Je sens ma peau brûler, cette odeur de chair calcinée m’hante encore. Je lâche enfin la poignée, mes yeux tombent sur ma paume, elle est rose, bombée, meurtris… je me rappelle y avoir penser. Pensé; c’est tout ce que tu mérites Marc. Puis les sirène retentir, je m’écroulai à nouveau, muet. Je n’ai jamais reparlé de l’incident depuis, tout le monde devinait que c’était de ma faute, que mon égocentrisme m’avait fait oublier mon héroïsme, que ma peur avait prouver que je n’étais pas un homme… mon dieu, je n’étais même plus humain. J’ai décidé de devenir pompier, c’était ma seule ambition, ma seule option. J’y vouais ma vie, corps et âme. Je n’avais pas peur de la mort, des brûlures, des cris, des visages défigurés… je n’avais peur que de moi-même. Je ne voulais pas qu’on m’aime, je ne le méritais pas. J’aimais moi, sans rappelle. J’aimais toujours, mais n’en disais jamais mots. C’était pathétique, mais je ne voulais pas être heureux, la torture mentale m’allait à ravir. Je ne changerais rien. Du moins… si seulement c’était plus facile. Si seulement il n’y avait pas eu Addison. Je ne sais si on peut appeler cela; amour. Du moins, si c’est le cas, je serai le premier à le nier. Et puis, qu’est-ce que je connais de l’amour moi? Absolument rien. Alors, que sais-je? Non, ce n’est pas de l’amour. C’est ses cheveux, ses yeux, mon dieu, c’est ses lèvres. C’est sa manière de tenir tête, de me tenir tête. Je l’ai rencontré dans le cadre de mon travail. Je me souviens, quand nous sommes arrivé, moi et Shawn sur les lieux de l’incendie, une femme nous attendait déjà dehors, sur le pan de la porte. Elle avait du mal à gesticuler, à parler, ses mains toujours sur son ventre arrondis. Cette femme était sur le point d’accoucher, mais ce n’était pas ce qui l’inquiétait le plus apparemment. Elle ne cessait de répéter la même chose : « Addison ». Ce n’est qu’après l’avoir interrogé que moi et l’équipe nous rendîmes compte qu’une seconde femme était en danger. Sans attendre le consensus j’entré dans la maison voisine, qui par la force des choses, avait pris feu également. La chaleur était intense, voir meurtrière. La fumée créait un brouillard qui m’empêchait de voir devant moi, derrière moi. Il me semblait être seul, mais une voix humaine trahis ma solitude. Bravant les meubles enflammés je m’approchai de la voix. Une femme, cette femme, Addison, en tenait une deuxième, plus âgé. Je ne les regardai qu’une fraction de seconde avant de tourner la tête derrière moi, le plafond venait de s’effondre, nous bloquant toutes voies de passage. Dans ces cas, il est indiqué de passer par la fenêtre. Sans dire un mot, je pris la main de la dame et l’entraînai avec moi vers l’issus la plus proche. Elle dans mes bras, je m’hissai dans le cadre étroit de la fenêtre. Mes pieds touchèrent le sol, nous n’étions qu’au premier étage. Et sans que je n’aie rien à dire, l’autre femme me suivit de près. Elle n’avait besoin de personne, d’aucun soin, c’était fascinant et perturbant à la fois. N’importe qui, in their right mind, n’aurais probablement pas tenté de sauver une inconnue. C’est sans doute ceci qui m’empêche de la sortir de mon esprit. Nous ne sommes pas si différent, au fond. |
What Can I Say ; More about Me... | VIDE : Si seulement je voulais revenir dans le temps et changer les évènements… Mais je ne peux pas. Ce jour m’a transformé, dans le mauvais sens du terme. Je ne ressent plus rien, du moins, j’essai. Je suis vide, je ne vie aucune passion si ce n’est celle de mon métier. TÊTU : Il est rare de me faire changer d’avis. Au travail surtout, on ne peut jamais me convaincre qu’une situation est trop dangereuse, je ne tiens pas assez à la vie pour reculer devant les flammes. S’il y a quelqu’un à sauver, j’y vais. RECKLESS : Je suis casse-cou, imprudent. Je fais attention à mon corps, puisque le métier l’oblige, mais quand j’en ai l’occasion j’essaie. J’essaie tout, mettez moi au défi, je ne le refuserai jamais. J’aime les sports extrêmes, vous l’aurez deviné. FIDÈLE : À part le chien, il n’y a pas meilleur ami de l’homme. Je ferais tout pour mes amis, pour celle que j’aime… Du moins, en cachette, car je ne crois pas que je suis fait pour être en couple. Je défend ceux que j’aime, mais je ne demande rien en retour, je ne veux rien. MYSTÉRIEUX : Je suis un homme passif. Il est rare de m’entendre exprimer un opinion, encore plus rare m’entendre exprimer mes sentiments. Je garde tout à l’intérieur et d’ailleurs c’est ce que je j’aime avec les pompiers, on a jamais besoin d’avoir de discussions sérieuses.
| You? Behind your Computer... | Prénom/Pseudo ☞ Annabelle/MINKA Age ☞ 19 y.o. Comment as-tu découvert le forum? ☞ Google, destiny. Mon personnage est ☞ PV L'avatar que j'utilise est ☞ Garrett Hedlund Ma fiche est ☞ En cours. Quel est votre docteur préféré ? ☞ Calliope/Arizona mais j'adore; Christina, Karev, Sloan, Jackson, Lexie... Bref.
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Dernière édition par Marc Douglas le Ven 2 Mar - 19:24, édité 6 fois |
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